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02/02/2015

Faire carrière, c'est aussi créer son entreprise

 

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L'INSEE vient de rendre publique une étude sur le profil des créateurs d'entreprises. Celle-ci révèle que 550 000 entreprises ont été créées en 2014. Même s'il s'agit souvent de micro-entreprises (dans 59 % des cas, c'est le statut - provisoire- de l'autoentrepreneur qui a été choisi) et que la pérennité n'est évidemment pas garantie, c'est quand même l'indication d'une tendance lourde.

En effet, le salariat parce que son statut a été trop rigidifié par la loi et les accords professionnels au cours des 30 dernières années n'est plus protecteur tout simplement parce qu'il y a de moins de patrons disposés à embaucher. Et ce n'est pas seulement pour des raisons économiques mais bien pour des raisons juridiques : recruter est un risque trop grave dans la mesure où il est devenu extrêmement couteux et difficile de licencier... Cette stratégie syndicale qui consistait à tenter de protéger les salariés en poste au détriment des salariés au chômage a atteint ses limites.

Les chômeurs représentent d'ailleurs près d'un cinquième de tous les créateurs d'entreprise.

09/01/2015

NON A LA MORT DU BILAN DE COMPETENCES !

Depuis le 1er janvier 2015,

 - Le bilan de compétences n'est plus éligible au Compte Personnel de Formation (comme il l'était dans le cadre du DIF). 

- Le bilan de compétences dans le cadre du Congé Bilan va être limité par la mise en place du Conseil en Évolution Professionnelle.

- Le Bilan de compétences pour les demandeurs d'emploi disparait ( Le DIF portable pour le bilan de compétences n'existe plus).

L'ASCBC (Association Syndicale des Centres de Bilans de Compétences) appelle tous les "sympathisants" du Bilan de compétences (Centres de Bilans de Compétences, Entreprises, Salariés, Demandeurs d'emploi, Bénéficiaires du bilan de compétences) : 

A signer et à diffuser la pétition : "Non à la mort du Bilan de Compétences".

 

  http://www.petitions24.net/non_a_la_mort_du_bilan_de_comp...

28/12/2014

Dans l'espoir que les freins à l'emploi et à l'activité professionnelle disparaissent en 2015

 

 

http://www.ancenis-immobilier.fr/images/gif%20texte%20AI/textes/bonne%20annee/bonne-annee-vert.gif

 

 

http://www.ancenis-immobilier.fr/images/gif%20texte%20AI/textes/2014-2015/2015-vert-large.gif

06/12/2014

Les efforts de POLE EMPLOI pour votre carrière

Monsieur Jean BASSERES, dont le mandat à la direction de POLE EMPLOI vient d'être prolongé, a fait savoir qu'il avait l'intention de modifier le fonctionnement de cet organisme dont l'utilité est discutée depuis des années.

On se souvient que POLE EMPLOI est né de la fusion entre l'ANPE et les ASSEDIC, décidée en son temps par des gens qui, comme maintenant, n'ont jamais été candidats ni n'ont jamais travaillé dans une entreprise.

Quel est donc ce nouveau projet?

Il s'agit tout simplement de revenir à ce qui existait avant 2008, c'est-à-dire à séparer les agents chargés de suivre les demandeurs d'emploi et ceux qui sont chargés de les indemniser. Au programme aussi une "réorganisation de l'accueil" et de nouveaux horaires. On est certain que cela va aider les chômeurs ! Leur nombre vient d'ailleurs encore d'augmenter.

On sait bien pourtant que le problème est ailleurs. Pour développer l'emploi, il n'y a qu'une seule solution, développer l'activité économique privée et pour cela cesser de ponctionner les entreprises,t cesser de leur mettre des bâtons réglementaires et législatifs dans les roues et faire des économies dans le fonctionnement de l'Etat (à commencer par la suppression de POLE EMPLOI)...

22/11/2014

Donner un nouvel élan à sa carrière sans risque...

C'est possible depuis quelques années grâce au système de la rupture conventionnelle. Un système dont l'attrait ne se dément pas, au contraire.

On compte 300 000 ruptures conventionnelles environ chaque année depuis trois ans !

Pourquoi un tel engouement ?

Parce que pour l'employeur, c'est un moyen très sûr de se séparer d'un salarié (il faudrait à ce dernier, pour remettre en cause sa signature, de prouver qu'il y eu vice du consentement, ce qui est extrêmement difficile à démontrer) malgré un forfait de charges sociales de 20 % (depuis 2013).

Parce que pour le salarié, c'est un moyen, si son patron en est d'accord, de quitter celui-ci sans offrir sa démission tout en gardant ses droits aux indemnités chômage et, en plus, en percevant une indemnité de départ qui est supérieure aux indemnités légales et conventionnelles de licenciement malgré un différé de paiement des indemnités Pôle-Emploi qui peut atteindre 180 jours (depuis le 1er juillet 2014).

Un moyen de changer de job sans prendre beaucoup de risques et de "booster" sa carrière.