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24/02/2024

La rémunération d'un stagiaire en 2024

Pour un temps plein considéré à 151,67 heures par mois en 2024, un stagiaire a droit à une gratification de 659,75‬ €.

19/02/2022

Se réjouir de la baisse du chômage en France ?

Le ministre français de l'économie, Bruno Lemaire, et l'ensemble des médias français font mine de se réjouir de la baisse du chômage en France.

Et cela grâce, bien entendu, aux efforts du gouvernement français...

Sauf que, si en France le taux de chômage est descendu à  7,4 %, il est descendu encore bien plus bas dans la plupart des autres pays européens, qui eux ne sont pas 'En Marche" :

- 3,8 % aux Pays-Bas

- 2,9 % en Pologne

- 2,1 % en Tchéquie

- 3,2 % en Allemagne

- entre 5 % et 5,9 % pour l'Irlande, le Danemark, la Roumanie, la Belgique, le Portugal

Seuls la Grèce, l'Italie et l'Espagne font, officiellement, moins bien...

 
 

09/05/2020

Une attestation de l'employeur pour prendre les transports en commun aux heures de pointe

Pourquoi pas.

Mais pourquoi valable seulement une semaine?

Mais le modèle de l'attestation ne sera disponible que dimanche soir. Pratique pour le remettre aux salariés qui commencent leur semaine de travail le mardi et qui n'ont pas Internet...

Décidément quand l'incompétence est au pouvoir...

Et que deviennent les 1,6 millions d'indépendants? Ils vont se faire une attestation à eux-mêmes?

06/05/2020

Les modalités de la reprise en Ile-de-France

Déconfinement en Île-de-France : les modalités de recours aux transports collectifs définies

pour accompagner la reprise d’activité.

Les organisations patronales - MEDEF Île-de-France, CPME Paris Île-de-France, U2P

Île-de-France – et les organisations syndicales - CFDT et CFTC - avec le soutien et

l’appui de l’État, des collectivités, d’Île-de-France Mobilités, de la RATP, de la CCIR

Paris Île-de-France et de la CRMA Île-de-France ont défini collectivement les modalités de recours aux transports en commun pour la reprise d’activité en Île-de-

France. L’objectif : limiter le recours aux transports en commun en poursuivant le télétravail, en élargissant les heures d’arrivées et de départ en entreprise permettant

de diminuer la fréquentation pendant les heures de pointe, et en développant des

outils de mesure du trafic ainsi qu’une offre alternative de transport. Les partenaires

s’engagent également à faciliter la mise à disposition d’équipements de protection

nécessaires aux salariés.

En Île-de-France, la reprise de l’activité économique est très fortement liée à l’offre de

transports. Afin de faciliter la mise en œuvre des mesures sanitaires pour les usagers

(masque obligatoire et distanciation sociale), les partenaires ont élaboré une série de

mesures à promouvoir permettant de limiter le recours aux transports en commun.

Les partenaires sociaux, l’État, les collectivités et les acteurs des transports en Île-de-

France s’engageront sur ces modalités par leur signature le mercredi 6 mai à 14h45.

Les principes à mettre en œuvre sont les suivants :

1/ Favoriser lorsque cela est possible la poursuite du télétravail et l’étalement des

horaires de prise de service pour ceux qui ne peuvent télétravailler afin d’éviter les

heures de pointes. Dans le respect des contraintes d’activité de l’entreprise, celle-ci

définit une organisation du travail pour répartir de manière homogène les arrivées et

les départs sur le lieu de travail sur les tranches 5h30-6h30, 6h30-7h30, 7h30-8h30,

8h30-9h30 et 9h30-10h30 pour les arrivées. Les heures de départ feront l’objet d’un

étalement similaire sur les tranches 15h30-16h30, 16h30-17h30, 17h30-18h30, 18h30-19h.

La présence sur site pour les activités télétravaillables est à proscrire dans la mesure

du possible la première semaine : le 100% télétravail est à privilégier. Pour les deux

semaines suivantes, et sous réserve des constats partagés sur les conditions de

saturation des transports en commun, ce taux de présence pourrait être augmenté

chaque semaine de 10%.

Les entreprises, mais également l’État, les collectivités et les organismes consulaires

s’engagent sur cette modalité. Ces dispositions feront l’objet d’un dialogue social

interne à l’entreprise, pour assurer une adhésion de tous et la soutenabilité des

organisations dans la durée.

2/ Agir sur la mise en adéquation de l’offre de transport et des flux de voyageurs en

assurant une veille permanente du niveau d’utilisation des réseaux, en informant au

mieux les voyageurs et en développant les modes alternatifs de transport (voies

cyclables, covoiturage).

Une observation en continu sera assurée par les opérateurs pour vérifier que les lignes

ne soient pas congestionnées ; l’offre sera modulée selon les lignes en fonction des

ressources disponibles des opérateurs pour limiter les saturations, et les utilisateurs en seront informés. De plus, en lien avec le plan vélo en cours de déploiement, l’État et les collectivités

développent de nouvelles voies cyclables temporaires, sécurisées et continues sur le

territoire francilien. Ce plan sera finalisé et communiqué d’ici la fin de semaine afin

d’informer le public de la mise en place de ces lignes de vélo.

3/ Veiller à la mise à disposition d’équipements de protection, notamment de masques

grâce à l’ouverture par l’État d’une plateforme digitale dédiée au TPE/PME, à la

fourniture de masques par les collectivités et, lorsque leurs capacités le permettent, par

les entreprises. En complément, des distributions de masques seront faites dans les

premières semaines par Île-de-France Mobilités, le Conseil Régional d’Île-de-France,

l'État et toute collectivité qui le souhaitera en amont des réseaux de transport.

02/05/2020

L'étrange consensus sur le port du masque dans les entreprises

Personne ne remet en cause la nécessité de porter un masque dans l'entreprise en ces temps de COVID19.

Observons pourtant les porteurs de masque :

- ils le portent sur le front, sur le cou, voire sur la tête

- ils l'enlèvent pour se gratter le nez

- ils l'enlèvent pour se moucher

- ils l'enlèvent pour fumer

- ils l'enlèvent pour tripoter leur portable

- ils l'enlèvent pour parler (!)

- ils l'enlèvent parce qu'ils ne peuvent plus respirer...

On ne pourra rien y faire.

En réalité, ce masque est touché et souillé en permanence. Hier soir un ponte du monde médical affirmait à la télévision avec morgue : "dans le milieu hospitalier, on en porte bien toute la journée, alors?". Sauf qu'il n'en portait pas quand il a affirmait ça et sauf que, dans le milieu hospitalier, on ne le porte pas toute la journée et on se décontamine les mains très souvent notamment parce que les produits de décontamination sont à portée de main et aussi parce que ça fait partie d'un long apprentissage.

Et le virus peut aussi pénétrer par les yeux qu'on va aussi toucher plusieurs fois avec ses mains souillées.

Et la qualité des masques fournis est très approximative : ceux qu'on peut obtenir par ordonnance sont chinois et le cordon se détache. Difficile de s'en servir ensuite, surtout que le mode d'emploi est en chinois...

Et il faut faire une lessive spéciale à 60° pendant 30' pour les masques lavables. Pratique et économique.

La seule défense contre le virus, ce ne sont pas les masques mais le fait d'arrêter de parler quand on croise une personne!!!

A moins que le virus ne se propage pas par la bouche?