Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04/01/2018

Qui veut tuer les bilans de compétences ?

France 2 diffuse mardi 9 janvier à 22 h50 un documentaire sur le bilan de compétences :

 "A Orléans, Paul, un cadre surdiplômé en recherche d'emploi, et Emilie, une jeune serveuse souhaitant se reconvertir, suivent un bilan de compétences dans un cabinet de ressources humaines. Ils se prêtent au jeu de cet exercice censé analyser ce qui ne va pas (sous-entendu chez eux), et booster leurs motivations. C’est donc, « l’heure du bilan » pour tous les deux, mais c’est aussi l’occasion de regarder de plus près, de façon drôle et réaliste, cet outil qui concerne en France environ 200 000 personnes par an et qui peine à faire ses preuves dans un marché du travail rongé par le chômage".

  Qui peine à faire ses preuves ?????

Encore un média qui parle sans savoir...

21/11/2017

Un colloque de GENERATION ENTREPRISE

 
 
 
INVITATION au colloque de Génération entreprise
le jeudi 7 décembre 2017
 
Chers amis,
 
Avec Olivier DASSAULT, Président, et les 100 parlementaires membres de "Génération entreprise - Entrepreneurs associés" (GEEA), j'ai l'honneur de vous inviter à notre grand colloque sur le thème :
 
"Intelligence artificielle :
Quels bouleversements sur l'entreprise de demain ?"
 
JEUDI 7 DECEMBRE 2017 DE 9H00 à 12H30 Salle VICTOR HUGO (101 rue de l'Université, 75007 Paris)
 
 
Parmi les invités :
M. Laurent ALEXANDRE (fondateur de Doctissimo, auteur de « La guerre des intelligences »),
Mme. Christine KERDELLANT (directrice de la rédaction de l'Usine Nouvelle, auteur de « Dans la Google du Loup »),
M. François BARRAULT (Président d'IDATE Digiworld Institute),
M. Marko ERMAN (Senior Vice President & Chief Technical Officer chez Thalès),
M. Nicolas PRINCEN (ancien conseiller à l'Elysée en charge de l'économie numérique, fondateur de Glose),
M. Thomas GUIGNARD (responsable du développement chez Waze Ads)…
 
Je m'inscris
 
 
L'inscription est OBLIGATOIRE (avant le 30 NOVEMBRE minuit). Un message de confirmation vous sera envoyé quelques jours après votre inscription. A très bientôt pour cet évènement exceptionnel !

Jean-Michel FOURGOUS
Maire d'Elancourt et Président de Saint-Quentin-en-Yvelines
Délégué Général et porte-parole de GEEA

 

29/09/2017

Les conditions d’accès à la VAE assouplies

Les conditions d’accès à la VAE assouplies

La loi Travail posait il y un an les jalons d’un accès facilité à la Validation des acquis de l’expérience (VAE), le décret du 4 juillet 2017 est venu en préciser les conditions de mise en œuvre. Réduction de la durée d’expérience requise, élargissement des activités prises en compte et aménagement de la procédure : les nouvelles dispositions entreront en vigueur le 1er octobre.

La question qui se pose est : les recruteurs accordent-ils du crédit à la validation des acquis de l'expérience? Cette VAE est-elle plus utile qu'une bonne analyse du CV et un bon entretien?

Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la vae

08/09/2017

De mal en pis...

La protection des salariés va, à nouveau, connaître des accrocs et le chômage va encore augmenter comme il l'a fait le mois dernier (non, M. Hollande, la situation de s'améliore pas, non M. Macron, elle ne va pas s'améliorer).

Les dernières mesures initiées par Emmanuel Macron ne vont pas dans le bon sens :

- l'augmentation de l'indemnité légale de licenciement ne va pas inciter les entrepreneurs à embaucher...

- l'instauration d'un plafond pour les indemnités prud'homales va, au contraire, inciter les avocats des salariés à demander systématiquement le plafond. Ce qui ne va pas inciter les entrepreneurs à embaucher...

- L'exonération du plafond pour les cas de harcèlement et de discrimination va pousser à la hausse les indemnisations, alors même que plus des deux tiers des demandes aux Prud'hommes font état de harcèlement et/ou de discrimination. Ce qui ne va pas inciter les entrepreneurs à embaucher...

Si seulement ces fonctionnaires qui nous gouvernent avaient, une fois dans leur vie, créé une entreprise ou géré une entreprise au niveau exécutif !

 

Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lois macron

05/07/2017

Quelques affirmations répétées sans trop réfléchir

Le monde des ressources humaines est gangrené par des idées fausses que beaucoup répètent à l'envie sans vraiment y réfléchir. On en trouvera quelques exemples ci-dessous :

- Pour réussir sa carrière, il faut changer d'employeur régulièrement. C'est mal vu de rester toujours dans la même entreprise. On perd de son employabilité en étant fidèle à son emploi...

Les statistiques apportent un démenti à cette affirmation. D'après l'INSEE, 45% de la population salariée du secteur privé a plus de 10 ans d'ancienneté, dont 48 % des cadres d'entreprise. La mobilité externe ne paie que pendant les 10 premières années de carrière, pas au-delà. Toutefois, il est bien évident que ceux qui souhaitent rester chez leur employeur doivent veiller à se maintenir employables en cultivant leurs contacts, en stimulant leur curiosité et leur motivation, voire en sollicitant des formations adaptées.

- Si on perd son emploi, il faut vite commencer une formation à un nouveau métier.

Le bon sens apporte un démenti à cette affirmation. En effet, plus une formation sera longue (et c'est le cas des formations à un nouveau métier), plus le "trou" dans le CV s'agrandira et plus il sera difficile ensuite de retrouver du travail. L'éventuel employeur considérera que le salarié s'est éloigné trop longtemps des réalités du terrain. Et croit-on vraiment qu'on est crédible dans un nouveau métier sans l'expérience qui va avec?

- C'est la lettre de motivation qui fait la différence et pas le CV.

Cette l'idée que c'est la motivation qui créera la réussite dans le poste et non les expériences accumulées. Ce n'est pas complètement faux mais ce n'est pas au travers de la dite lettre qu'un employeur pourra s'assurer de l'envie d'un candidat à assumer un poste et une fonction. Parce que, par définition, on ne peut être motivé avant de savoir précisément, à l'issue d'un entretien par exemple, ce que l'employeur attend de son futur salarié. Parce qu'aussi les lettres de motivation ne sont en général pas lues, dans la mesure où elles sont terriblement artificielles. Pourrait-il en être autrement ?