02/05/2020
L'étrange consensus sur le port du masque dans les entreprises
Personne ne remet en cause la nécessité de porter un masque dans l'entreprise en ces temps de COVID19.
Observons pourtant les porteurs de masque :
- ils le portent sur le front, sur le cou, voire sur la tête
- ils l'enlèvent pour se gratter le nez
- ils l'enlèvent pour se moucher
- ils l'enlèvent pour fumer
- ils l'enlèvent pour tripoter leur portable
- ils l'enlèvent pour parler (!)
- ils l'enlèvent parce qu'ils ne peuvent plus respirer...
On ne pourra rien y faire.
En réalité, ce masque est touché et souillé en permanence. Hier soir un ponte du monde médical affirmait à la télévision avec morgue : "dans le milieu hospitalier, on en porte bien toute la journée, alors?". Sauf qu'il n'en portait pas quand il a affirmait ça et sauf que, dans le milieu hospitalier, on ne le porte pas toute la journée et on se décontamine les mains très souvent notamment parce que les produits de décontamination sont à portée de main et aussi parce que ça fait partie d'un long apprentissage.
Et le virus peut aussi pénétrer par les yeux qu'on va aussi toucher plusieurs fois avec ses mains souillées.
Et la qualité des masques fournis est très approximative : ceux qu'on peut obtenir par ordonnance sont chinois et le cordon se détache. Difficile de s'en servir ensuite, surtout que le mode d'emploi est en chinois...
Et il faut faire une lessive spéciale à 60° pendant 30' pour les masques lavables. Pratique et économique.
La seule défense contre le virus, ce ne sont pas les masques mais le fait d'arrêter de parler quand on croise une personne!!!
A moins que le virus ne se propage pas par la bouche?
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09/01/2020
Le coût de la grève des transports pour les salariés...
Valérie Pécresse, Présidente d’Île-de-France Mobilités, rencontre ce mercredi les
représentants de la RATP et la SNCF.
Si la demande de remboursement du passe Navigo se justifie pour les usagers durant le
mois de décembre, elle apparaît légitime du point de vue des entreprises qui financent
50% du forfait transport pour leurs salariés (ce qui représente près d’un milliard
d’euros par an). À cela s’ajoute le versement transport, contribution des entreprises
d’au moins 11 salariés, pour la somme conséquente de 4,5 milliards d’euros par an.
Au total, les chiffres sont sans appel : les entreprises franciliennes sont les premiers
financeurs des transports en Île-de-France et ne peuvent être oubliées dans le
process de dédommagement qui est en train d’être négocié.
À ce titre, Daniel Weizmann, Président du MEDEF Île-de-France demande la gratuité
totale du passe Navigo sur les prochains mois en fonction de la poursuite de la grève,
ce qui permettra aux entreprises de se voir elles-aussi dédommagées de leur
contribution de 50% du financement du forfait transport de leur salariés. C’est la
solution la plus simple à mettre en œuvre au bénéfice des entreprises et de leurs
salariés.
Pour Daniel Weizmann : « Le droit de grève est un droit inaliénable de la démocratie. Mais
la liberté de circuler et de commercer sont des libertés tout autant fondamentales que celles
de manifester ou de faire grève. À chacun de prendre ses responsabilités sur la gestion et le
maintien d’un service minimum sur les lignes de transport ainsi que sur les
dédommagements qui doivent être assurés auprès des usagers et des entreprises déjà
fortement affectées par le mouvement
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30/12/2019
Age de la retraite en Europe
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24/12/2019
Pour en finir avec les faux diplômes...
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03/12/2019
Faire carrière dans une France hyper fiscalisée
Une étude de KPMG souligne combien les entreprises en France sont freinées dans leur développement par le poids de la charge fiscale.
Et combien, par voie de conséquence, il est difficile aux entreprises en France d'embaucher et de bien payer les salariés.
Quelques chiffres :
- le niveau de charges sociales est de 36,7 % en France et de 19 % en Allemagne.
- les impôts de production (fiscalité locale, versement transport, forfait social, taxe sur les salaires, C3S, etc.) pèsent plus de 70 milliards d'euros contre 10 milliards en Allemagne.
Pourtant les entreprises françaises ont réussi à créer 935 000 emplois depuis janvier 2015 et ont augmenté le pouvoir d'achat de leurs salariés de 19 milliards d'euros en 2019.
Un mouvement vertueux qui est bien mal encouragé par le gouvernement français...
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